la construction sera toujours en retard sur l'immigration
La croissance démographique résultant de l'immigration apporte des défis significatifs particulièrement dans le secteur du logement. Actuellement, le Canada fait face à une crise du logement, exacerbée par l'augmentation constante de la demande due à l'immigration.
La question centrale semble résider dans la gestion des seuils d'immigration, notamment en termes de types de travailleurs accueillis. Bien que l'ouverture à l'immigration soit une force motrice culturelle, elle peut mettre à rude épreuve les infrastructures existantes.
Une première proposition serait de réajuster le ratio migratoire pour inclure davantage de travailleurs qualifiés dans le secteur de la construction. Cela pourrait apporter un soulagement relativement rapide à la crise du logement en mettant l'accent sur la création de nouvelles infrastructures et de logements.
Il est également suggéré de revoir le flux d'étudiants internationaux, dont la présence augmente la pression sur le logement sans contribuer directement à sa croissance. En diminuant le nombre d'étudiants et en augmentant le nombre de travailleurs qualifiés en construction, on pourrait trouver un équilibre plus stable qui nous permettrait d’accueillir plus de réfugiés qui sont ceux qu'on peut le plus aider.
Bien sûr, la mise en œuvre de telles mesures nécessiterait une planification stratégique, une collaboration entre les secteurs public et privé, ainsi qu'une adaptation agile aux changements démographiques.
Aborder la crise du logement induite par l'immigration exige une approche nuancée. Il est impératif de trouver un équilibre entre l'accueil et la capacité d’accueil.
Si c'est une question morale, c'en est surtout une pour les réfugiés, reste donc les deux grandes catégories d'étudiants et travailleurs et avec la crise du logement qu'on vit, faire venir plus de travailleurs pour faire rouler l'économie est un non-sens parce que ça prend un seul vol d'avion pour faire venir des dizaines de gens ayant besoin de logement et c'est beaucoup plus long et complexe d'en construire.
Sans parler des dommages environnementaux planétaire de la croissance économique, ce qui ne rend pas l'immigration attirante pour moi mais pas du tout, on doit parler des tensions politiques internationales et des vies qu'on peut sauver et des ponts culturels qu'on construit entre les cultures ce qui est fondamental à l'évolution de l'humanité, en ce sens, l'immigration est aussi fondamentale que la circulation sanguine au sein d'un organisme.
Alors pour moi, on ne touche pas aux ratios de réfugiés, on les privilégie et on en fait venir le plus qu'on peut, mais pour y arriver, on ne peut pas autant accueillir d'étudiants et faire rentrer n'importe quels travailleurs, on a besoin de main d’œuvre en construction, pas en livraison de colis Amazon.
On voit ici un journaliste, un membre du Cabinet de Harper, une ancienne élue NPD sous Jack Layton, une ancienne ministre libérale du Québec et un ancien chef du PQ tous d'accord à dire que c'est absurde de parler de la crise du logement sans aborder la question tabou des seuils migratoires, mais le fédéral de Justin reste sourd à la science et n'est qu'à l,é